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Lors d'une intervention télévisée vous avez notamment déclaré :
"Les fonctionnaires ne sont pas les sujets de seigneurs ou suzerains mais des citoyens à part entière, responsables quel que soit leur grade ou éhelon...Si l'on d'entre eux avait des problèmes en ce sens qu'il me le fasse connaître."
Malheureusement, aujourd'hui, tel est mon cas.
Affectée à dater du 1er novembre 1980,
mon supérieur a refusé de me recevoir
(Je suis une femme, mon rôle est près de mes enfants),
par la suite il m'a interdit de réaliser ma tâche sur le terrain, et surtout ordonné d'établir des faux financiers pour couvrir les siens.
Devant ma lutte pour accomplir ma mission auprès des assujettis
dans des conditions très difficiles,
et, mon refus de rédiger des faux,
annuellement il abaisse ma note, confisque la moitié de ma prime, m'empêche par tous moyens
(que les textes lui permettent ou qu'il s'octroie illégalement)
de travailler.
J'ai donc engagé d'abord des recours hiérarchiques,
puis des actions auprès du Tribunal compétent.
Cependant, contre toute attente,
la situation de rejet, la pollitique de tracasseries avec blocages permenants visant à me détruire professionnellement avec les conséquences physiques et morales qui en décoiulent se poursuivent sous une couverture hiérarchique très active.
Elevée dans le respect de moi-même et des autres,
(respect que je m'appplique à vivre et à inculquer à mes trois fils, dans un monde où effort et honnêteté suscitent, pour le moins, des moqueries),
Je ne peux pas accepter une telle injustice avec ses conséquences professionnelles, morales, physiques et pécuniaires,
mais de nature tolérante et fraternelle
je me demande si,
entre la résignation que je réfute
et une action auprès de Monsieur le Procureur de la République,
(conseillée par mon syndicat si ses interventions n'étaient pas suivies d'effets positifs, et aujourd'hui déconseillée par pragmatisme, malgré des résultats négatifs),
il n'y aurait pas une troisième voie l?
Dans ce but, Monsieur le Ministre, j'ai l'honneur de solliciter votre aide pour résoudre au mieux ce douloureux dilemne.
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Il m'a répondu :
" pas de sa compétence...Il transmet à ma ministre de tutelle".
Celle-ci ?
Continue de "faire le mort".