- Fin 1982, après 24 mois de tension, mes troubles "stress cardiaques" devenaient plus fréquents, longs, douloureux...
Plus de dix mois que le dossier était dans les mains du Tribunal.
Comme prévue dès le harcèlement épistolaire mensonger du premier trimestre, la note 1982 réïtéra celle de 1981.
Obligeant un second recours...
Le syndicat ne m'avait pas répondu, mais j'entretenais des relations téléphoniques suivies avec un membre du bureau qui me racontati quelques "dessous"...
Ma confiance n'était plus totale.
Ma défiance n'était pas complète.
Je sollicitai donc, auprès de cet interlocuteur, un arrêt de trois mois pour problèmes de santé consécutifs au chemin de croix.
(Afin de ne plus devoir, chroniquement, me trouver en arrêt de travail d'une semaine, grevant la sécu et mon moral déjà atteint...)
Ce représentant m'assura avoir reçu l'accord demandé pour un congé sans solde de trois mois. Me précisant seulement que le chef du personnel, -qui venait de changer-, le ferait débuter non pas le 15 octobre, suivant ma demande, mais le 1er novembre.
Pour octobre, mon certificat médical surffirait à me maintenir en maladie...
Donc, mon traitement ne me serait plus versé de novembre à fin janvier.
Donc, ma carrière ne s'arrêterait pas.
Il n'y aurait pas lieu de me ré-intégrer...où bon leur semblerait.