- On aurait pu penser,
malgré l'impolitesse rare et la rudesse inexplicable du premier accueil,
que, finalement,
l'offensée venant de faire mine de ne l'avoir jamais vécu,
les relations professionnelles pourraient démarrer comme il est normal...
Eh bien fichtre ! Il n'en fut rien !
Dès l'après-midi me voilà rappelés les durs propos du premier jour :
""ON ne veut pas de moi.
""ON m'ordonne de rester au bureau, en attendant que l'ON puisse s'occuper ""de moi.
""ON n'a pas de crédits pour moi...
""Si je ne suis pas contente je n'ai qu'à partir...Démissionner."""
Vive les Lois sur l'égalité des sexes dans le travail !
Vis à vis de la formation équivalente pour tous, et par voie de conséquence de la promotion !
Et c'est un gars de qui n'avait pas quarante ans qui parlait ainsi !
Ca promettait pour l'avenir...